Par Amadou Ly Diome
1 – Vague d’indignations dans les mosquées du pays : Le rejet par le Bureau de l’Assemblée nationale dirigé par Moustapha Niasse de la proposition de loi crimininalisant l’homosexualité qui est une aspiration populaire a soulevé une vague d’indignations dans tout le pays. Surtout que ce projet était porté par l’ensemble des guides religieux et coutumiers du pays. Ce vendredi, dans toutes les mosquées du pays, de Touba à Tivaouane en passant par Medina Baye, Niassane, Thiénéba, Koki… les sermons de nos imams étaient axé sur cette forfaiture perpétrée par des députés de la majorité présidentielle.
2 – Serigne Mountakha soutient And Samm Jikko yi : Le khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, a été le premier khalife à réagir, hier, après le rejet par Moustapha Niasse et son bureau, de la proposition de loi crimininalisant l’agenda LGBT au Sénégal. Dans un communiqué viral sur les réseaux sociaux, le patriarche de Darou Minaam a réitère son soutien aux initiateurs de cette démarche légale entreprise pour lutter contre l’homosexualité. Il a appelé tous les sénégalais à œuvrer pour une société saine qui conseille le bien et condamne le mal.
3 – Macky Sall inaugure la grande mosquée de Fatick : Le chef de l’État, Macky Sall, a inauguré, hier vendredi, la grande mosquée de Fatick. Il a pris part à la grande prière dirigée par l’imam
Mohamed Mbengue. Les travaux de construction de cette mosquée ont demarré en 2005.
4 – La flotte sénégalaise compte 120 navires : Selon le ministre des Pêches et de l’Economie maritime, Alioune Ndoye, la flotte sénégalaise compte 120 navires dont 31 bateaux battant pavillon Union européenne et 24 autres dont les licences n’ont pas encore été renouvelées. Cette flotte industrielle a rapporté plus de 262 milliards de F CFA à l’économie sénégalaise, selon le patron de ce département ministériel.
5 – Les ASP dénoncent leurs mauvais traitements : Au terme des 72h sans ASP, les Agents de sécurité de proximité ont fait face à la presse, hier, au siège de FRAPP pour denoncer les « mauvais traitements» et le manque de considération dont ils font l’objet de la part de l’État.