En effet, le Coran étant descendu en langue arabe comme cela est mentionné dans ces versets (Coran 12 : 2), (Coran 41 : 1), (Coran 26 : 195), il en vient qu’aucune traduction ne saurait tenir lieu de Coran.
C’est ainsi qu’il est plus correct de dire qu’il y a des illuminés qui prient en récitant des traductions du Coran et des expressions non arabes dans les autres stations de la Salât.
Or, Allah (SWT) nous enjoint à deux reprises de réciter ce qui du Coran est à notre portée lors de la prière « faqra-û mâ tayassara minal qur-ân », « faqra-û mâ tayassara minhu » (Coran 73 : 20).
Comment prétendre après cela qu’on a récité du Coran alors que c’est supposé être du Coran traduit (qu’elle qu’en soit la finesse), donc pas du Coran, pas le Coran.
Et cela vaut pour toutes les autres expressions de la Salât, car elles ont été reçues du prophète (saws) telles quelles, relevant du culte « ta ‘abbudî », et ne sont sujettes ni à une modification, même en arabe, ni à être substituées par une traduction.